Aromatique et peu piquant, seuls dix producteurs en ont le secret. À glisser partout, du salé au sucré.
Un peu d’histoire sur la seule épice française bénéficiant de l’AOP.
Il doit son nom au ravissant village d'Espelette niché aux pieds des montagnes basques. S'il est effectivement considéré comme l'un des emblèmes basques, il fut en réalité rapporté d'Amérique du Sud par Christophe Colomb au XVème siècle. Son appellation AOP impose à ses producteurs le respect d'un cahier des charges qui définit notamment sa zone de production ainsi que certaines règles garantissant la qualité du produit.
L'emblème du pays basque !
Les Basques aiment la fête et tout particulièrement celle du piment d’Espelette se déroulant le dernier week-end d’octobre, après la récolte.
Chœurs d’hommes, pelotes, danses traditionnelles, concerts, dégustations… À ne pas manquer !
Accords parfaits avec le piment d’Espelette.
Ses arômes de tomate, de foin et de poivron sont délicats et fragiles, ils peuvent vite s'évanouir dans la nature. Récoltés de fin août à octobre, les fruits rouges sont séchés au four, où ils sont retournés toutes les 6 heures, puis accrochés fièrement aux façades des maisons avant d'être réduits en poudre.
Diablement revigorant, sa saveur piquante et fruitée, son arôme chaud et vif respirent la joie de vivre et le tempérament basque.
Véritable signature de la cuisine du sud-ouest, on le retrouve dans tous les plats, les omelettes, les salades, le pain et le chocolat.
Le piment d’Espelette se décline en plusieurs formats : poudre, gelée, purée ou fleur de sel.
À la manière d’un poivre, ce piment réveille, embrase, déchaîne les papilles avec :
Une salade, un poulet basquais, des calamars à la tomate, un délicat saumon sauvage mariné, un bon fromage de chèvre frais...